Une vie en rose, un rêve qui s’éveille
Dans le silence de la ville, la bohème s’émerveille,
Comme d'habitude, le matin se lève, doux et léger,
Un homme à la moto trace la voie, libre et léger.
Il traverse les rues, le vent dans ses cheveux,
L’aigle noir vole haut, mystérieux et furieux,
Ses ailes déployées dans un ciel sans fin,
Symbole d’un rêve qu’on ne sait où il va, loin.
Les idées noires parfois assaillent, comme une tempête,
Mais plus près des étoiles, l’espoir s’apprête,
À briller dans l’obscur, à chasser le doute,
Et à faire vibrer l’âme, même dans le déroute.
Il y a ceux, les dingues et les paumés,
Qui cherchent un ailleurs, un autre monde, à jamais,
Ils dansent sur le fil, entre folie et amour,
Cherchant leur vérité au détour de chaque jour.
Mistral gagnant souffle sur la ville endormie,
Souffle les souvenirs, les rêves et aussi l’oubli,
Et si tu n'existais pas, murmure-t-il dans le vent,
Tout serait fade, sans éclat, sans mouvement.
Je l'aime à mourir, chante une voix douce,
Un amour sincère qui jamais ne s’efface,
Un fils, une bataille, un cœur qui se déchire,
Une vie qui lutte, qui veut encore rire.
Dans cette ronde étrange, où tout se mêle,
La bohème se perd, mais aussi se rebelle,
Une autre vie, un autre monde en devenir,
Un voyage intérieur à découvrir.
Les idées noires tentent de tout ternir,
Mais la lumière persiste, prête à surgir,
Plus près des étoiles, on trouve la force,
De continuer à écrire, de tracer notre course.
L’homme à la moto accélère, libre et fou,
Cherchant la vérité, le sens sous la voûte du ciel,
Les ailes de l’aigle noir portent ses rêves,
De portes ouvertes, d’horizons sans trêve.
Comme d'habitude, la routine s’efface,
Le cœur en fête, malgré la menace,
Car la vie en rose, même fragile, en vaut la peine,
Et chaque pas vers l’avant chasse la haine.
Les dingues et paumés sont nos frères,
Ils portent en eux la lumière des lunes claires,
Et si tu n'existais pas, la vie serait sans goût,
Une ombre sans âme, un silence si doux.
Mistral gagnant, souffle tes chansons,
Réveille en nous cette douce passion,
Car dans ce chaos parfois, il y a l’espoir,
Une promesse d’un matin sans voir l’histoire.
Une vie en rose, un rêve à bâtir,
De ceux qui aiment, qui veulent encore sourire,
L’homme à la moto, l’aigle noir, la bohème,
S’unissent pour faire vibrer notre emblème.
Et même si les idées noires veulent tout prendre,
Il suffit d’un regard pour tout comprendre,
Plus près des étoiles, on croit en demain,
Et chaque fin annonce un nouveau matin.
Les dingues et les paumés, porteurs de lumière,
Sont la preuve que tout peut renaître, tout peut faire
Naître un autre monde, plus beau, plus sincère,
Où la vie en rose éclate en éclairs.
Alors, écoute cette chansonnette infinie,
La vie, le rêve, la passion, l’utopie,
Et souviens-toi que même dans le noir le plus profond,
Il y a toujours un éclat, une étoile, un pardon.
© Solitudeman
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