Sur le chemin des pécores, les pas s'égrènent, En quête d’un monde, au milieu des peines. Sous le ciel d'azur, un péquin s’éveille, Son tablier usé, en quête d’un pareil. Bobo en terrasse, avec son café, Dissertant de l'art, de la culture à l'été. Les ploucs au loin, les yeux rivés au sol, Rient aux éclats, leur bulle est un rôle. Joyeux luron virevolte, esprit en souffrance, Cherchant à briser, les codes de l'errance. Il danse sur les toits, avec une mouette, Qui crie au vent, encore, encore la fête ! Le tocard dans son coin, rêve de grandeur, Sa tête bien pleine, mais une faible ardeur. Dans la ville grouillante, chacun cherche sa place, Un tableau coloré, un contraste qui s’entasse. Pécore dans le vent, le cœur sur la main, Il bravoure les juges, avec son foulard fin. La mouette vole haut, la liberté est la clé, Elle rit des préjugés, des regards enchaînés. Péquin au grand cœur, dans son champ de blé, Rêve d’un horizon, de terres à aimer. Les bobo-compatriotes,...
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